Titre : Au temps des Maraudeurs Medium : Peinture acrylique sur toile Dimensions : 33 x 24 cm Date : 2015 (Vendue)
Cliquez pour agrandir une image
Au temps des Maraudeurs Peinture acrylique sur toile 33 x 24 cm 2015
Résultat final :
Au temps des Maraudeurs Peinture acrylique sur toile 33 x 24 cm 2015
Cliquez pour agrandir une image
Des reproductions de cette peinture (sous forme de posters, cartes, impressions sur toile, aluminium et même vêtements ou accessoires pour téléphones, ordinateurs ou tablettes) sont disponibles sur la boutique Redubble de Studinano.
Les dessins présentés sur cette page sont classés du plus récent au plus ancien.
Cliquez pour agrandir une image.
Ladybug et Chat Noir (Fanart de Miraculous Ladybug), Aquarelle et encre sur papier Canson, 2018
Ladybug et Chat Noir (Fanart de Miraculous Ladybug), Aquarelle et encre sur papier Canson, 2018
Ladybug et Chat Noir (Fanart de Miraculous Ladybug), Aquarelle et encre sur papier Canson, 2018
Sakura et Syaoran (Fanart de Card Captor Sakura), Aquarelle et encre sur papier Canson, 2018
Sakura et Syaoran (Fanart de Card Captor Sakura), Aquarelle et encre sur papier Canson, 2018
Sakura et Syaoran (Fanart de Card Captor Sakura), Aquarelle et encre sur papier Canson, 2018
Sakura et Syaoran (Fanart de Card Captor Sakura), Aquarelle et encre sur papier Canson, 2018
Sakura et Syaoran (Fanart de Card Captor Sakura), Aquarelle et encre sur papier Canson, 2018
Sakura et Syaoran (Fanart de Card Captor Sakura), Aquarelle et encre sur papier Canson, 2018
Jelsa dancing (Fanart de La Reine des Neiges et Les Cinq Légendes)
Acrylique sur papier Canson, 2015
Frozen love (Fanart de La Reine des Neiges et Les Cinq Légendes)
Acrylique sur papier Canson, 2014
Bloup bloup et moi <3 (Fanart de World of Warcraft)
Acrylique sur papier Canson, 2014
Le Chapelier Fou (Fanart d’Alice au pays des Merveilles, version Tim Burton)
Aquarelle et encre sur papier Canson, 2013
La Belle et la Bête (Fanart de La Belle et la Bête version Disney)
Aquarelle et encre sur papier Canson, 2013
Blanche Neige (Fanart de Blanche Neige et les Sept Nains version Disney)
Aquarelle et encre sur papier Canson, 2013
Yoshi is Yoshi (fanart basé sur le personnage de jeu vidéo Nintendo, Yoshi, qui est aussi le nom de mon chat)
Aquarelle et encre sur papier Canson, modifié par ordinateur, 2013
Les Indochinoises (fanart inspiré par les chansons et pochettes de disques du groupe Indochine)
Aquarelle et encre sur papier Canson, 2012
Lady Pikachu (fanart inspiré par le Pokémon… Pikachu !)
Aquarelle et encre sur papier Canson, 2012
J’ai longtemps été membre du site de jeu en ligne Sailor Fuku(c’est ainsi qu’on appelle les écolières, au Japon, du fait de leur uniforme rappelant celui des marins) car j’y avais obtenu un rôle de « Créatrice de tendances ». Autrement dit, je faisais partie des membres qui réalisaient les tenues des poupées numériques que jouaient les membres du site.
Aperçu de la « poupée » (appelée « base ») que les Créatrices de Tendance du jeu avaient pour rôle d’habiller.
Dans un cadre n’excédant pas 150 sur 290 pixels (en tout cas, à l’époque, ce qui explique les tenues parfois coupées que vous pourrez voir ci-dessous), je devais habiller les poupées. Je disposais donc d’un modèle de corps(voir ci-contre, il était le même pour toutes les joueuses, à l’époque, lui aussi) et c’était à moi (entre autres, nous étions plusieurs) de réaliser des vêtements qui tombaient parfaitement sur ces formes prédéfinies.
Je devais dissocier le haut, le bas, les chaussures et la coiffure (coiffure qui était aussi en deux parties : ce qui tombait devant la poupée et ce qui tombait derrière la poupée).
Je réalisais aussi les « miniatures », c’est-à-dire l’aperçu des futurs vêtements dans les différentes vraies-fausses boutiques du jeu. C’est pourquoi j’ai aussi réalisé quelques paires de chaussures en « gros plan » (ne s’adaptant pas réellement aux pieds des poupées, si vous préférez). Pour ces miniatures, mon travail devait tenir dans un cadre de 80 sur 80 pixels.
Je n’ai malheureusement pas pu récupérer l’ensemble de mes créations car l’ordinateur sur lequel je les stockais à l’époque a été volé (et oui, j’ai de la chance, que voulez-vous…). Du coup, j’ai même quelques images qui s’affichent plus ou moins correctement car elles ont été mal enregistrées, entre temps… Je m’en excuse.
Voici en tout cas une partie des nombreuses petites choses que j’ai pixélisé (si vous êtes observateurs, vous constaterez rapidement que certaines de ces créations font aujourd’hui partie intégrante du design de mon site).
Il m’arrive encore de recevoir des messages de membres de Sailor Fuku, me demandant quand je reviendrai sur le site, si je créerai encore des vêtements, etc. Ca me fait très plaisir de constater que mon passage a laissé une trace dans cette petite communauté :)
N’hésitez pas à cliquer sur les images pour voir les vêtements en taille « réelle » (donc pas en gros plan).
Suite à une commande, j’ai réalisé deux dessins inspirés des dessins animés La Reine des Neiges (Frozen) de Disney et Les Cinq Légendes (Rise of the Guardians) de Dreamworks. L’un représente Elsa, la dite « reine des neiges » (son histoire serait inspirée du conte d’Andersen du même nom, mais… en dehors du titre, je cherche encore le rapport entre les deux histoires) et l’autre Jack Frost, personnage originellement tiré du folklore anglo-saxon, considéré comme une allégorie de l’hiver.
Le couple que l’on m’a demandé de représenter n’en est pas vraiment un car les deux personnages viennent de dessins animés différents. Mais depuis la sortie de la Reine des Neiges en 2013 (soit un an après la sortie des Cinq Légendes) les « fanarts » (néologisme formé des mots « fan » et « art », c’est-à-dire les créations imaginées par les fans à partir d’une oeuvre qu’ils admirent) ne cessent d’imaginer Elsa et Jack Frost réunis en une seule et même histoire.
Les deux personnages possédant tous deux des pouvoirs en lien avec la neige, la glace, le froid, rien de bien étonnant. D’autant plus que Disney et Dreamworks n’ont pas offert de « happy end » amoureux à ces deux personnages. Les fans s’en chargent donc à leur place. Sur le web, le couple a même son surnom : Jelsa, contraction de « Jack » et « Elsa ».
Bref, j’ai beaucoup travaillé, j’ai ajouté « ma patte » (je plaide coupable, les cheveux d’Elsa sont beaucoup plus longs que dans le dessin animé :D) et voici le résultat en quelques images :
La Reine des Neiges (Work in progress)
La Reine des Neiges (Work in progress)
La Reine des Neiges (Work in progress)
La Reine des Neiges (Work in progress)
La Reine des Neiges (Work in progress)
La Reine des Neiges (Work in progress)
La Reine des Neiges (Work in progress)
La Reine des Neiges (Work in progress)
Jack Frost (Work in progress)
La Reine des Neiges (Work in progress)
Jack Frost (Work in progress)
Jack Frost (Work in progress)
Elsa et Jack Frost (Work in progress)
Elsa et Jack Frost (Work in progress)
Elsa et Jack Frost (Work in progress)
Elsa et Jack Frost (Work in progress)
Frozen Love Acrylique sur papier Canson www.studinano.com
Mise-à-jour : J’ai réalisé un deuxième fanart mettant en scène Elsa et Jack Frost. Cette fois-ci, vous pouvez les admirer en train de danser.
Elsa et Jack Frost dansant (Work in progress)
Elsa et Jack Frost dansant (Work in progress)
Elsa et Jack Frost dansant (Work in progress)
Elsa et Jack Frost dansant
Découvrez tous les produits dérivés créés à partir de ces dessins ! Ils sont disponibles sur la boutique Etsy de Studinano : https://www.etsy.com/fr/shop/Studinano (Quantités limitées : les produits de notre boutique Etsy sont fabriqués à la main, en France, par moi-même. Certains produits sont uniques, d’autres disponibles en quantité très limitée.)
Voici une réinterprétation plutôt intéressante de différentes princesses de l’univers Disney réalisée par l’artiste Sashii-kami de DeviantArt (http://sashiiko-anti.deviantart.com).
Plongées dans le monde de la mode d’aujourd’hui, tout en conservant leur look originel, les princesses deviennent d’étranges pantins ultra-fins, des mannequins, dirions-nous plus facilement qui, à mon sens, en disent long sur les princesses que l’on montrera demain à nos petites filles.
Déjà les princesses Disney originelles étaient bourrées de stéréotypes: belles, gentilles, douces… juste assez intrépides pour partir à la recherche de leur Prince Charmant mais n’allons pas beaucoup plus loin. Dès les débuts du studio Disney, les princesses n’étaient déjà pas très épaisses : si Blanche Neige avait encore une silhouette à peu près humaine en 1937, la Belle au Bois Dormant est déjà beaucoup plus maigre en 1959… C’est surtout sa taille extrêmement fine qui choque. Et les nouvelles princesses (Merida du dessin animé Rebelle ou Elsa de la Reine des Neiges, par exemple) suivent clairement le même modèle.
Comparaison entre la silhouette de Blanche Neige (1937) et celle de La Belle au Bois Dormant (1959) par les studios Disney.
La graphiste américaine Loryn Brantz s’est notamment « amusée » à redessiner la silhouette des véritables princesses Disney. Et, d’après elle, « la morphologie des princesses est nettement moins extrême, et pourtant elles sont tout aussi belles et magiques ».
La preuve en images :
Loryn Brantz – Ariel de La Petite Sirène (Disney)Loryn Brantz – Belle de La Belle et la Bête (Disney)Loryn Brantz – Aurore de La Belle au Bois Dormant (Disney)Loryn Brantz – Pocahontas (Disney)Loryn Brantz – Jasmine de Aladdin (Disney)Loryn Brantz – Elsa de La Reine des Neiges (Disney)
Les poupées Barbie et les poupées aux looks (prétendument) gothiques Monster High suivent depuis un petit moment la pente dangereuse qui fait de la maigreur extrême un critère de beauté plus fort que tous les autres. Disons que les Barbie avaient au moins l’avantage d’avoir encore quelques formes… Aujourd’hui, le moindre atour féminin semble être supprimé au profit d’une silhouette filiforme, à la limite de l’androgénie.
Exemples de poupées Monster High.
Étrange évolution des poupées ; étrange évolution de la mode qui, il y a encore un siècle, faisait de la femme rondelette, voire clairement obèse, une référence absolue en matière de beauté fatale.
L’être humain et sa vision de la beauté est décidément bien extrémiste.